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Préambule : Reynaldo Hahn et la musique chorale à la Belle Époque par Stéphan Etcharry

À la lumière, chœur à quatre voix mixtes et piano ad libitum (Anatole France)1925.

Aubade athénienne, chœur de femmes à quatre voix (1911).

Les Bretonnes, soprano, mezzo-soprano ou alto et piano (1897).

Cathédrale de Strasbourg, cantate, ténor, chœur et orchestre (Louis Aragon), (manuscrit autographe : 1945).

Chansons et madrigaux, chœur à trois ou quatre voix mixtes et piano ad libitum (1907).

Fête triomphale, poème dramatique en 3 actes, solistes, chœurs et orchestre (14 juillet 1919).

Les Muses pleurant la mort de Ruskin, neuf voix de femmes, chœur de femmes et lyres (1902).

L'Obscurité, chœur à quatre voix mixtes a cappella (1904).

O fons Bandusiæ, soprano, chœur de femmes et piano (1923).

Prométhée triomphant, oratorio, solistes, chœur et orchestre (1908).

La Reine de Sheba, scène lyrique en 1 acte (1925).

Le Rosier et la colombe, deux voix élevées a cappella (1910).

Sérénade, pour ténor, baryton et piano (1904).

À cette liste on peut ajouter les chœurs figurant dans plusieurs cycles de mélodies :

Études latines :
1- Lydie (ténor solo et chœur)
4- Thaliarque (Chœur à 2 voix avec soli)
9- À Phidylé (solo de basse et chœur)

Rondels :
1- Le Jour (pour chœur)
6- Gardez le trait de la fenêtre (pour chœur)
11- La Nuit (pour chœur)

Venezia :
6- La Primavera (avec chœur)